Heureusement que Didier nous accompagnait. Bout-en-train il nous a bien fait rigoler et nous a changé les idées. Mais à Pampelune il nous a quittées pour rentrer chez lui. Heureusement que le troisième jour nous nous sommes senties à nouveau bien, avec l'enthousiasme de continuer notre chemin.
Didier et Delphine chantent et dansent sur le chemin! |
arrivé à Pampelune avec Delphine et Didier |
Après avoir passer les Pyrénées sous le brouillard et la pluie, le lendemain le soleil s'est remis à briller de tous ses feux. Il fait donc beau et chaud, voire très chaud. Comme lors des canicules, je mets mes lunettes de glacier, nettement plus protectrices. Il n'y a plus d'accueil chez des particuliers, ce sont des gîtes de 30, 50, 100 et plus de pèlrins. On essaye de viser les pas trop grand, encore faut-il qu'il y aie de la place. Les gens sont à nouveau accueillants. Intérieurement... c'est bizarre, c'est comme s'il fallait se remettre en route. Pour le moment, pas grand chose à dire...! Quelques émoticônes mélangées... à choix!!
Un peu d'ambiance du Camino francês:
Et aussi.
la chapelle d'Eunate |
le pont de Puente la Reina |
Denise, mille mercis de ce billet richement illustré.
RépondreSupprimerLa photo du Pont de la reine est particulièrement belle.
Je crois que les Espagnols appellent le chemin français ainsi, parce qu'il est bien évidemment issu de France, mais aussi pour le distinguer des autres chemins qui convergent vers St-Jacques des 4 coins de la péninsule en provenance de Catalogne, de Valence, de Madrid et Tolède, de Séville ou de Lisbonne.
Comment vis-tu sous ce ciel azul sans le moindre nuage qui ne vienne l'animer ?